Le lugubre est passé,
beaucoup y sont restés.
Le nom gravé,
celui de destinée…
La porte est refermée
sur un être égorgé…
Le sol explosé…
un vrais tas de gibiers.
Tout est regretté,
rien ne sera changer.
Tout est à regretter,
mais toujours recommencer.
Le lugubre est passé,
il n’a pas trépassé…
de nouveau il va chanter :
des mains vont l’acclamer…
des mains vont le pourchasser…
des mains vont pleurer…
des mains vont être arrachées…
Le lugubre est passé,
connaît pas de sentier…
Chez Toi, il peut rester.
Chez Toi, il peut s’en aller.
Accueilli, acclamé…
Combattu, rejeté…
Le lugubre est né,
l’homme l’a engendré,
le lugubre est passé,
l’histoire est fusillée.
Le lugubre est passé
le lugubre est passé
est
passé. 

QUEMOUL