Et la terre se fit feu …
Et la terre se fit sang …
Et de nul temps,
la destruction Angélique
apparue. Vers les cieux …
le marteau des dieux.
Sur le sang, nulle barque,
vers l’emblème nulle main …
des châteaux : la puissance …
des sous-sols : la croyance …
au pied des croix : la transe.
Et maintenant, convergence …
énergies accouplées,
venues féconder.
Vers la plaine,
voitures et maisons écartelées …
Sur son cheval de clarté,
un templier apparu,
glaive dans la main Tranchant la rue.
La carte était vraie,
le chevalier de tout temps
monte la puissance de ses enfants …
Et la terre se fit feu …
Et la terre se fit sang …
Du Graal sortit les ténèbres,
de Jésus : le sanctuaire …
l’évangile … nul père, nul père …
Le pouvoir du marteau,
de tout temps acclamé,
de toute liberté
ne s’est vu porteur d’eau.
Le pouvoir destructeur,
la sagesse tranchée,
Templier engendré,
Anal transpercé,
énergies vénérées …
Les ténèbres en fête,
la vraie religion,
changement de notions.
Et la haine se fit feu
Et la haine se fit sang …
Et Jésus : SAIGNEUR.
NUL SAUVEUR …
NUL SAUVEUR …
QUEMOUL